jeudi 31 décembre 2009




31 décembre 2009, la nouvelle année commence bientôt pour faire suite à une année pourtant pas si mal et même plutôt belle à plusieurs points de vue. malgré tout je me sens complètement vide aujourd'hui. j'aurais envie de me coucher et de dormir pour des jours et des jours. je n'ai le goût de rien, pourtant j'ai vraiment l'impression que le fait de ne pas avoir de projet spécial pour ce soir y est pour beaucoup. c'est peut-être niaiseux mais ne pas fêter l'arriver de la nouvelle année me fait réaliser encore plus à quel point je suis de plus en plus isolé et solitaire. je me sens vieille et aigri. le magasinage de la journée pour "essayer" de me trouver de nouveaux vêtements n'a probablement pas aidé non plus. on dirait que je ne sais plus qui je suis. je cherche du linge mais je ne sais pas vraiment quoi et rien n'est à mon goût. et ce qui l'est ne me va pas du tout. il est loin le temps où tout me fesait comme un gant. la mode d'aujourd'ui pour les jeunes est affreuse et tout ce qui se fait pour les filles de mon âge est tellement fade et matante. je ne me retrouve plus. et je suis surtout tanné de m'acheter du linge juste en spécial parce que je n'ai pas les moyens. j'ai mis plus d'argent sur le lolita que les vêtements de tout les jours dernièrement mais c'est comme ça que je me sens vraiment bien et que je me trouve belle. sauf que ce n'est pas bien accepté de mon entourage et je comprends ça aussi. je me cherche présentement comme je ne me suis jamais cherché avant. j,ai toujours eu du style (pas toujours au goût des autres mais quand même) sauf que là je suis plate à mort! j'en ai ma claque de mes jeans pis mes t-shirt.

je voudrais quand même souhaiter une bonne nouvelle année à tous ceux que j'aime et qui m'aiment aussi (ou pas...). l'année qui se termine à été source de bonheur et de joie mais aussi d'émotions plus difficiles, comme toutes les autres. je peux quand même dire que j'ai grandi et évolué cette année, même si ça n'en a pas toujours l'air. je passe de très beaux moments avec mon amoureux et il est un précieux soutient pour moi. ma vie n'est que plus belle avec lui. mais je dois quand même continuer d'avancer par moi-même pour aller au bout de mes douleurs et de mes souffrances et me sortir de mon brasier. même si à chaque pas vers l'avant que je fais, j'ai l'impression d'en faire deux vers l'arrière, je ne dois pas lâcher. je ne vois pas toujours la lumire au bout du tunel, même si je suppose qu'elle est là, mais je dois y croire. mon seul voeux pour la prochaine année est très simple: je souhaite de trouver la paix (une maison et une bonne job seraient aussi les bienvenus. hihihi!).

je vous aime, même si je le montre pas. quand je saurai comment, vous le saurez!
Bonne année 2010!

lundi 28 décembre 2009

pour mon rendez-vous de demain, je dois trouver quels sont les besoins que j'ai honte d'avoir. premièrement j'ai du mal à définir ce que c'est un besoin. et deuxièmement, j'ai l'impression d'avoir honte d'à peu-près tout les besoins que je peux trouver. j'exagère mais vous voyez quand même le topo.

j'ai un très grand besoin d'être comprise. et si je n'ai pas honte de ce besoin là, j'ai quand même l'impression qu'il ne peut pas être comblé et ça me cause beaucoup de frustrations. parce que souvent, je ne me comprend pas moi-même mais je voudrais que les autres me comprennent pour m'aider à feeler mieux. j'ai aussi besoin de beaucoup d'attention mais je ne le demande pas. je prend mon trou et je viens mal quand on ne s'occupe pas suffisament de moi. sauf que je ne le dirai jamais. et je ne parle pas d'être le centre de l'attention dans un party par exemple mais bien qu'on soit attentif à moi dans le quotidien. j'ai probablement besoin de ça parce que je n'arrive pas a exprimer ce dont j'ai besoin ou envie et que je voudrais qu'on le devine sans que j'aie à le dire. je sais très bien que c'est impossible et c,est pour ça que c'est tellement frustrant. parce qu'en fait, y a tellement de choses que je ne suis pas capable de dire et que je voudrais qu'on devine. donc tellement de choses que je garde en-dedans silencieusement. ça s'accumule au fur et à mesure et ça fini par éclater. et dans ce temps là, c'est pas toujours beau.

j'aurais vraiment besoin de pleurer toute ma douleur dans les bras de mon chum mais je suis incapable de le faire. parce qu'il va me demander ce que j'ai. et j'ai rien sinon que je suis fatigué d'être moi. le temps des fêtes à été épuisant du point de vue émotionnel. j'ai vu ma mère juste quelques heures mais ça été difficile parce que je n'ai encore pratiquement rien fait de correct. je suis encore et toujours tout croche. mais elle veut qu'on passe une journée ensemble. on passe notre temps à s'obstiner alors non, j'ai pas le goût de passer une journée avec elle. je n'ai pas de fun à me faire dire quoi faire comme une enfant tout le temps. je n'ai jamais raison avec elle, je ne connais rien, je ne fait jamais les choses comme il faut et j'ai toujours l'impression qu'on est en compétition l'une contre l'autre. j'ai pas envie de ça. en fait, si je pouvais couper les ponts, je pense que je le ferais. autant avec elle qu'avec mon père. mais je ne le ferai pas pour mon fils. quand il sera assez vieux pour garder le contact lui-même, sans que ça passe par moi, peut-être qu'il sera temps de le faire. je sais que ça à l'air écoeurant ce que je dis et que c'est gros mais ils sont vraiment un obstacle à mon bien-être. oui je suis gâté, ils m'aident beaucoup monnétairement et tout ça, mais sur le plan émotionnel ils sont épuisants pour moi. ils n'ont jamais su me faire sentir bien et apprécié. j'ai toujours eu l'impression d'être une erreur et de n'être pas celle qu'ils espéraient et c'est encore comme ça aujourd'hui. malheureusement, je ne pense pas que ça changera avec le temps. je suis convaincu qu'à 50 ans, je serai encore traîté comme une enfant de 10 ans et ça me rends malade.

le plus bel exemple de ça c'est que mon père nous à invité pour souuper le 26, comme chaque année. on est toujours juste nous 4 d'habitude (mon fils, mon père, sa blonde et moi+conjoint). mais là, pour être certain que j'arriverais pas en lolita parce qu'il déteste ça, il m'a pas dit qu'on allait être TOUTE LA FUCKING FAMILLE AU COMPLET! faque il était ben content de me voir arrivé en jeans, pas peigné, pas maquillé lui. mais moi j'avais pas apporté de carte de noêl pour personne pis j'ai eu l'air cheap pis ça, moi, ça me fait chiez en criss. qu'on me fasse passer pour quelqu'un qui sait pas vivre juste pour une question de vêtements, je trouve ça rat en tabarnak.

et la veille, ma mère à passé sont temps à me reprendre sur tout ce que je disais à mon fils. elle l'a pas fait chez ma grand-mère parce qu'elle était occupé avec la wii dans le salon pendant que moi j'étais avec d'autre monde dans la cuisine mais c'est ben la première fois qu'on s'obstine pas toute la soirée. mais c'est toujours moi qui fini par passer pour l'air bête et la "pas fine" alors que l'air bête, je le pogne parce qu'elle ne me lâche pas une minute. j'ai toujours l'impression d'être sous surveillance par la mère supérieur avec elle, comme si je fesais jamais rien de bon dans la vie et qu'il fallait absolument qu'on me guête pour pas que je fasse de niaiseries. je suis vraiment tanné de ça. je ne suis plus une enfant. et ça fait très longtemps de ça. j'ai tellement dû être parfaite tout le temps que l'enfant à pris le bord vite. c'est pas parce que j'aime les affaires de flows que j'ai le coeur jeune. mon coeur, il est très, très vieux et fatigué. mon coeur d'enfant, je l'ai perdu avant même de commencer l'école, je pense.

je me coucherais au fond d'un trou pour des jours et des jours des fois. et aujourd'hui, c'est une de ces fois là.

jeudi 10 décembre 2009



j'avais beaucoup aimé cette représentation de l'ange gabriel par Tilda Swinton.

je remet mon travail sur Sainte-Anne-de Beaupré (oui je sais, j'ai dit que je l'écrirais plus jamais) dans 2 heures. je suis stressé mais en même temps, je suis contente des modifications et ajouts que j'ai fait ce matin. je crois que ça va bien aller. mais j'aurais voulu avoir le temps de mieux approfondir le sujet. une de mes amies fera son stage aux Ursulines. je l'envie mais j'espère que j'aurai la chance de me placer dans ce genre d'endroit pour mon stage et ma futur job. je rêve de me mettre le nez dans toutes ces archives religieuses depuis que j'ai débuter mon certificat en janvier 2009. j'ai su assez rapidement que c'était ce que je voulais faire, contrairement à d'autres qui peuvent passer des années dans le même programme à ne pas vraiment savoir ce qu'ils veulent en sortant de là. espérons que ça fonctionnera.

je suis pas mal moins confiante pour mon travail d'initiation au travail scientifique par exemple. y me reste 3 pages à écrire d'ici demain soir et je sais ben pas ce que je vais rajouter. je doute que ce cours là fasse remonter ma moyenne mettons...

mardi 8 décembre 2009




j'ai presque fini mon travail sur Sainte-Anne-de-Beaupré et j'espère ne plus jamais avoir à écrire ce mot là! c'est long en maudit 7 pages où tu dis Sainte-Anne-de-Beaupré à toutes les 2 phrases avec les traits d'unions pis les majuscules...en tout cas.

il reste juste un poisson rouge et il est entrain de pourrir....c'est pas très chouette.

j'ai faim bon!

vendredi 4 décembre 2009


c'est trop beau!

bon, je suis complètement bloqué sur mes deux travaux long de fin de session. je sais pas pourquoi mais dans le dossier intégrateur, j'étais super confiante toute la session et maintenant que c'est le temps de le faire, je sais pus trop ce que le prof veux exactement et j'ai peur de me planter.

pour l'autre travail c'est juste que je dois faire 12 pages et je suis bloqué à 9....

on a un nouvel aquarium avec 2 barbus tigrés et 3 barbus verts. ils ont un drôle de comportement durant la journée. et mon fils s'était acheté 3 poissons rouges. y en a un qui a sauté en bas de l'aquarium et un qui est mort. il en a acheté 2 autres et là y en a un qui a pogné un virus (genre grippe de poisson) et à qui je ne donne pas la journée. il est pas chanceux.

cette session-ci à été vraiment plus difficile que la précédente. et ça me fait un peu peur pour la prochaine. ça allait bien jusqu'à y a 2 semaines à peu près. j'ai vu arriver le rush tout d'un coup et même si j'ai eu l'impression de garder le cap tout le temps et même de prendre de l'avance, là je me retrouve submergé par le travail et je ne sais plus où donner de la tête. et dans ce temps là, j'ai tendence à....perdre mon temps. comme je fais présentement.

alors j'y retourne.

jeudi 26 novembre 2009

j'ai beau faire les efforts que je veux, je reviens toujours au même point: l'échec.

on m'a dit de dire comment je me sentais et que la réaction de l'autre ne m'appartenait pas. mais comment je fais si mes sentiments mettent l'autre en colère? comment je fais pour ne pas avoir l'impression que c'est de ma faute? pour ne pas me sentir coupable? comment je fais?

mon intervenante m'a dit cette semaine qu'elle constatait de plus en plus que mon estime de moi était complètement nul mais que de m'être confié comme je l'ai fait cette semaine c'était fantastique, un pas de géant. oui mais ça m'a mené où de l'avoir fait? et d'avoir continué de le faire? dans le mur, comme d'habitude.

la réaction de l'autre ne m'appartient peut-être pas mais je sais que je l'ai causé cette réaction là, et que c'est moi qui doit vivre avec les conséquences. conséquences qui se présentent comme étant désastreuses pour le moment.

j'ai vécu une relation amoureuse qui m'a complètement détruite pendant 4 ans. dès que je disais quelque chose qui lui déplaisait, ou pire, que je lui disais que je l'aimais, il partait. il était avec moi par défaut. quand on sortait en gang dans les bars, il ne passait jamais la soirée avec moi jusqu'à ce qu'il réalise qu'il n'allait rien ramener ce soir là. à ce moment là seulement il se tournait vers moi, pour ne pas rentrer seul. dès qu'il avait l'occasion d'être avec une autre que moi, il le fesait. j'ai toujours jugé que je ne méritais pas qu'on m'aime ou qu'on fasse quelque sacrifice que ce soit pour moi et il a martelé cette idée dans ma tête jusqu'à ce qu'il soit quasi impossible de l'en déloger. c'est comme ça que je vis encore aujourd'hui. chaque jour. j'attend toujours la brique qui va me tomber sur la tête, la fille mieux que moi qui va prendre ma place, celle plus jeune, plus belle, plus cool, moins folle, qui va lui dire ce qu'il veut entendre, lui montrer ce qu'il veut voir et lui faire ce qu'il aime. et je vis comme ça presque tout les jours. les moments de répit sont rares. j'ai toujours l'impression que le vase est sur le bord de déborder avec moi, et que je vais être la goutte de trop un moment donné. j'ai peur de la chute, de retomber, de me retrouver à l'hopital encore une fois parce que je suis trop peureuse pour le faire pour vrai.

ma peur de perdre, d'être abandonné. ma criss de peur d'être abandonné, oublié, remplacé. elle est toujours là, qui me parle, tout le temps. "fais pas ça, il va s'en aller", "dis pas ça, il va se fâcher", "penses pas ça, il va rire de toi", "dis-y surtout pas comment tu te sens, il va te mettre dehors". j'ai fait le grand saut cet été et j'ai quitté le confort et la sécurité de mon cocon de solitude pour vivre avec lui, parce que j'ai décidé de croire en nous deux, de faire confiance, d'essayer de ne plus avoir peur. et ça me pète en pleine face aujourd'hui. je n'ai plus aucune sécurité, aucun cocon pour m'isoler de tout et essayer d'oublier. plus de place pour fuire une réalité trop difficile et qui me donne le mal de vivre. la fuite à souvent été un moyen d'oublier. je n'ai pas de moyens de fuir sans démolir le semblant d'avenir que je suis entrain de me bâtir présentement. mon seul échapatoir pourrait être ma mèreé c'est hors de question. je ne suis pas capable de lui dire que je suis malade, comment je pourrais justifier ça? je me sens complètement désarmé en ce moment. j'ai brisé ma bulle de protection cette semaine en me confiant et j'ai dévoilé les failles de mon château fort. je n'aurais pas dû. j'ai eu une faiblesse et j'ai abaissé ma garde, on peut m'attaquer n'importe quand maintenant. et quand j'ai essayé tout à l'heure, de continuer à être honnête comme on m'avait dit de le faire, j'ai su que c'était une erreur monumentale. c'est pas vrai que de dire comment je me sens ça favorise la communication, que ça aide à régler les problèmes. ça en cause, ça empire ceux qui sont déjà là et ça brise ma vie. c'est tout ce que ça fait. chque fois que j'ai essayer d'être honnête dans ma vie, de dire comment je me sentais vraiment et que j'ai essayé d'expliquer pourquoi je me sentais comme ça, ça m'est retombé dessus et j'ai payé pour. il n'y a jamais eu de positif qui est sorti de ça. quand j'ai dit à ma mère en pleurant que ça m'avait blessé d'être la dernière de la famille à savoir que mon oncle avait la sclérose en plaques, j'ai fait rire de moi et je me suis fait dire que j'"over reactais", quand je dit mon désacord avec quelque chose, que j'exprime la peine que ça me fait, on me gueule dessus. quand j'essaie d'expliquer que je ne me sens pas respecté, on m'accuse et on me laisse tomber.

je ne sais plus quoi dire, faire, penser. parce que mes émotions, celles qu'on me dit de ne pas cacher, de ne pas taire, ne sont jamais les bonnes, ne sont jamais celle que je devrais avoir, ne sont jamais justifiés et sont toujours déplacés. je suis une erreur de A à Z. je ne m'aime pas et je ne vois pas pourquoi on m'aimerait. alors quand on m'aime, je n'y crois pas, ou en tout cas j'ai du mal à y croire. alors j'essaie de me convaincre, par des moyens pas toujours valables, de me prouver que c'est possible, de me rassurer, de me dire qu'on ne va pas m'abandonné à la moindre petite erreur. et Dieu sait que j'en commet des erreurs. je fait juste ça. je suis un ammoncellement d'erreurs qui ne cesse jamais de grossir. elles s'accumulent, se multiplient, se répètent, s'entremêlent comme des petites bêtes sournoises et détestables. elles me rendent malheureuse mais elles sont tout ce que je suis, elles sont toute mon âme. elles sont moi.

je me suis donné le droit de croire au bonheur, ou en tout cas d'aspirer à une vie meilleur. mais je n'y ai pas droit, apparament. présentement, alors que je devrais être en larme, je me sens complètement vide. vide d'espoir, surtout. j'aurais envie de me coucher au fond d'une grotte isolé au bout du monde et de dormir pendant des années. je suis fatigué. fatigué d'avoir mal, d'être triste, de la bataille interminable entre ma tête et sa maladie, de pleurer, de ne pas voir le bout du tunel. je suis fatigué de vivre. j'ai l'impression d'avoir 100 ans. je voudrais me reposer un peu, ne plus me poser mille questions pour savoir si c'est correct que je me sente comme ci ou comme ça. Ges m'a déjà dit que je ne voulais pas vraiment être noraml. ben oui je le veux, je ferais tout pour ça. criss que je le veux. je suis allé à sainte-anne-de-beaupré pour mon travail de fin de session en fin de semaine passé et même si je ne crois pas à ces choses là, ben oui j'ai fait comme les autres et je me suis agenouillé devant la bonne sainte-anne pour la suplier de m'enlever cette maladie là de la tête. et j'ai souhaité que le miracle ce produise de toute mon âme. je préfèrerais être handicapé plutôt que de vivre ça. et ce ne sont pas des paroles en l'air. sans mes jambes, je pourrais fonctionner. sans ma tête...j'ai du mal. j'ai vraiment le goût de tout laisser tomber par moments. j'ai déjà dit que j'avais pensé m'en aller loin, loin. ben j'y pense encore. me détacher de tout ce qui m'entoure. de tout le monde surtout. mais ça ne règlerait pas le problème. ma tête ira pas mieux parce que je suis toute seule. j'ai maladivement besoin d'être aimé. je le suis, mais je le gère mal. je suis dans un cul-de-sac émotionnel en permanence. je vois encore une fois le mur arriver à pleine vitesse. et je sais pus si j'ai le goût de l'éviter ou ben si rentrer dedans une fois pour toute ça règlerait pas les choses. je suis vraiment fatigué. je ressens un épuisement émotionnel intense. j'en peut plus.

pis j'ai beau crier à l'aide, ça tombe dans le vide. j'ai beau eassayer de m'aider, ça mène à rien. ma vie est un échec. constat d'une vie raté qu'on aurait dû tuer dans l'oeuf.

dimanche 22 novembre 2009

"Essentially, borderline personality disorder is a kind of mental illness characterized by pervasive instability in self-image, in moods, in interpersonal relationships, and in behavior. To take an example of this instability in relationships, a PBD type of person might at one moment regard a friend or loved one with great admiration, affection, and love, and then suddenly, without warning, switch over to an attitude of irrational disappointment, vehement anger, or even hatred. When this switch occurs, the BPD person will accuse the friend or loved one (or the therapist) of having abandoned, mistreated, or misunderstood her, or otherwise blame the other person for having caused the sudden breakdown in idealization and affection. Often, the BPD person interprets ordinary everyday events as intentional rejections. For example, if the therapist, due to a traffic jam or household emergency, arrived late for a session, the BPD person would not believe those reasons, and would accuse the therapist of caring more for other patients, or having lost interest in her. Regardless of any apology, the BPD person would feel rejected and abandoned, and would express those feelings through anger, depressed mood, threats ("I'll get even with you"), or even—and this is the core of your question—with violence."

"Although there are various theories, including theories of genetic predisposition, about the causes of borderline personality, in my estimation the best of those regards BPD as the outcome of narcissistic wounds sustained in early childhood. Such wounds could occur in any of numerous ways—too many to list, really, so I will choose just one illustration to give the flavor of it. Suppose, for example, that a baby began nursing, but then the mother became ill or depressed and could no longer manage the feeding schedule. In the infantile mind, the loss of the breast might feel like a rejection, and the baby might also feel that this rejection was due to a lack of self-worth. In other words, mom has stopped loving me because I am a bad child. Once that pattern of thought has become established, other random events might also be seen as adding proof to it. "

"Now, each person's sense of self and self-worth is built up (or not built up) as the result of many thousands of such individual instances. A child who receives sufficient emotional support usually will become an adult with a strong sense of self-worth, but a child who lacks that kind of support may become an adult with a sense of self that is full of "holes" like a Swiss cheese. In other words, that adult, having a core self which is not solid but filled with gaps and "holes," will look not within but to others—to relationships—to fill those gaps. That is why such a person is so super-sensitive to any aroma of rejection, for the "rejection" is seen not just as unfriendly or unkind, but will be perceived as a threat to the very integrity of the self which might, if not supported properly, disintegrate entirely into a kind of "insanity." And this is a very sticky situation, because that kind of adult is looking, constantly and hypervigilantly, for the kind of support that he or she lacked as a child. In other words, that kind of adult wants, in a way, to be treated like a child: never disappointed, always cared for, always protected from the cruelties and realities of ordinary life. And such a person demands that kind of treatment from other adults. But, although some of the other adults might be able to offer that kind of support to an actual child, few would be able or want to offer it to another adult. Hence, this wounded ego, which wants an extraordinary level of support and consideration--an impossible level really--by its very demand that such treatment be provided, is setting itself up for rejection. Then, when the inevitable rejection comes, the ego, the "self" begins to come apart, to disintegrate, and the anger, mood swings, and all the rest follow."


ici

vendredi 20 novembre 2009



je lis présentement un texte sur la généalogie et la transmission des valeurs pour mon cours "expressions de mémoire". ça m'a fait réaliser que je ne sais pas grand chose de mes parents en tant que couple. non mais c'est vrai, ils ont divorcé quand j'avais 18 mois. et c'est resté un peu taboo je dirais, de parler d'eux en tant que "eux" justement. je ne sais pas comment ils se sont rencontré, ni quand. je sais par déduction combien de temps ils ont été marié mais j'ignore depuis combien de temps ils se connaissaient. je ne sais pas si ils ont eu d'autres amoureux avant de se connaitre (la nouvelle orthographe à enlevé le î...c'est laid). et surtout, je ne sais pas pourquoi ils se sont laissé ni qui à laissé qui. je me doute que c'est mon père qui est parti mais ça ne m'a jamais été clairement dit.

mon père me parle plus de son passé que ma mère. il me dit des fois "quand j'étais petit on allait là, on fesait ça" etc. ma mère, c'est très rare. je connais un peu les traditions de noël de la famille parce que noël c'est sacré pour ma mère. mais pour le reste...je me souviens lui avoir demandé une fois comment ils fesaient pour embarquer les 9 dans la familliale de grand-papa quand ils allaient aux états-unis (et c'est pas elle qui m'a raconté qu'ils allaient là, ça vient de mes grands-parents) et elle ne se souvenait meêm pas. elle m'a dit qu'elle ne se souvenait pas s'ils y étaient déjà allé tout les enfants ensemble. comment on fait pour oublier ça??? ma mère à un espèce de détachement face au passé que je n'ai pas. je suis une nostalgique, je le sais, mais je ne comprend pas comment on peut oublier ce genre de chose, ni comment on peut avoir une fille de 32 ans et ne lui avoir pratiquement jamais parlé de notre enfance. quand elle m,a vu avec ma crinoline à disney, elle m'a dit que les siennes étaient pas comme ça quand elle était petite. je ne savais pas qu'elle en avait déjà porté. pourtant c'est le genre de chose dont je suis certaine qu'elle sait que ça m'aurait intéressé.

à l'opposé moi, j'ai tendance à toujours parlé de mon passé. à tout le monde et tout le temps. je le fais moins avec mon chum parce que j'ai vaguement l'impression que ça ne l'intéresse absolument pas. c'est peut-être complètement faux mais c'est quand même ça. en même temps, je ne prive pa de lui raconter des trucs. peut-être que je vis juste plus dans le présent avec lui, je sais pas. mais avec mes amies entre autre, il me semble qu'on parle tout le temps de quand on était petites, comment on s'habillait, qu'est-ce qu'on écoutait, à quoi on jouait etc. j'ai raconté mes histoires du domaine fraser un million de fois sûrement. et j'en parle souvent à mon fils aussi, de mes souvenirs. me semble en tout cas. quand on va quelque part me semble que je lui dit souvent "quand j'étais petite là...". ma mère ne fait pas ça. j'ai l'impression d'en savoir plus sur mes grands-parents que sur ma mère des fois. je me demande si elle m'a déjà raconté pleins de trucs et que je m'en souviens juste pas parce qu'à une certaine époque je me foutais pas mal de tout ce qui se rapportait à elle. à l'adolescence, elle voulait qu'on soit les meilleurs amies du monde et moi je voulais qu'elle me foute la paix. notre relation à toujours été plutôt houleuse, même quand j'étais petite, et ça n'a pas vraiment changé. j'ai l'impression des fois qu'on est en compétition toute les deux. qu'il n'y a pas de relation mère-fille mais plutôt supérieur-inférieur. et moins je suis l'inférieur, la moins bonne, l'erreur, évidamment.

elle m'a toujours tenu à une certaine distance d'elle, surtout dans les moments difficile. je ne pense pas que ça ait été volontaire par contre. je ne sais pas. *prend une grande respiration pour parler d'un sujet difficile*
quand mon oncle est décédé entre autre. elle à été tellement froide et distante que j'en souffre encore presque 20 ans plus tard (shit! ça fait déjà 20 ans qu'il est mort?). quand elle l'a appris, elle était complètement défaite. ça se comprend, tu ne t'attend pas à ce que ton petit frère de 20 ans meurt avant toi d'une crise cardiaque. mais elle me l'a annoncé, à moi, petite fille de 9 ans qui a jamais connu la mort à part sur une perruche et un chat, comme une claque dans la face. "habille-toi-on-s'en-va-chez-ta-grand-mère-pierre-est-mort" sur le ton le plus bête que je ne lui ai jamais entendu. c'est tout. elle ne m'a pas regardé, pas pris dans ses bras, pas rien. elle est partie dans sa chambre chercher je sais pus quoi, elle a mis sont manteau et on est parti. elle ne m'a pas dit un mot sur le chemin, pas un mot chez grand-maman, pas une caresse, pas une consolation. rien. nada. là-bas, je me suis cherché un coin pour pleurer toute seule toute la journée. y avait du monde partout pis pas moyen d'être seule. pourquoi j'ai pas pleuré devant les autres? y aurait ben quelqu'un qui se serait occupé de moi je peux pas croire! je sais pas. j'étais gêner de pleurer je pense. mais j'ai aucune foutue idée pourquoi. pourquoi une enfant de 9 ans voudrait se cacher pour pleurer? c'est pas normal ça.

je me souviens que ma tante josée bercait ma petite cousine mélissa qui devait avoir 1 ans ou 2 et qui lui expliquait pourquoi tout le monde avait de la peine. je me souviens de mes grands-parents, mon oncle guy et ma mère qui devaient choisir ce qu'il porterait dans le cercueil. et je me souviens qu'elle m'a envoyé chez mon père assez vite. c'était pas sa fin de semaine mais elle m'a envoyé pareil. il n'a pas fait ça quand son père est mort et que j'étais chez lui, lui. il s'est occupé de moi quand même. pas elle. aux funérailles elle ne s'est pas occupé de moi quand je me suis enfin laissé aller à pleurer en sortant de l'église, c'est mon père qui m'a prit dans ses bras. et c'est la seule maudite fois que j'ai pleuré mon oncle devant elle. je me souviens même pas si elle était là quand je suis allé au salon funéraire avec mon père. elle s'est isolé et elle m'a fait vivre un deuil de presque 16 ans à cause de ça. j'ai finalement accepté la mort de pierre y a environ 4 ans quand j'ai réalisé que c'était à elle que j'en voulait de m'avoir ignoré et pas à lui d'être mort trop tôt. j'ai bien vécu le décès de mon grand-père justement à cause de la façon dont mon père à dealé avec ça. il ne m'a pas caché sa peine, il n'a pas été bête, il ne m'a pas exclu de sa vie quand c'est arrivé. peut-être aussi que le fait que j'étais mon proche de mon grand-père que de pierre. j'ai été élevé chez ma grand-mère. je me suis fait gardé là 5 jours par semaine (des fois 6 pis 7 jours) de 6 mois à 6 ans et il vivait là lui aussi. mes oncles et mes tantes les plus jeunes (josée, johanne, pierre, alain et même danielle) pour moi c'étaient mes frères et mes soeurs. j'ai foutu le bordel dans leurs chambres, je les ai réveillé le matin en piochant sur le piano avec ma cousine avant qu'ils se lèvent pour aller au cégep ou au secondaire (josée à juste 9 ans avec moi, pierre en avait 11), j'ai passé le journal evec eux, je suis allé à la colonie de vacances avec eux, à saint-lambert, ils m'emmenaient chez leurs amis...donc quand il est mort, ce que ma mère n'a pas calculé c'est que moi aussi j'avais perdu un frère. un frère avec qui j'ai habité plus longtemps qu'elle. et ça je viens juste d'y penser mais c'est vrai.

idéalement, il faudrait que je lui parle de ça un jour en ne lui mettant pas sur le dos mais en expliquant comment moi je l'ai vécu. sauf que je sais que je vais lui faire de la peine, je sais que je vais pleurer parce que je pleure tout le temps quand je pense à ça et que je ne suis pas capable de pleurer devant elle. maudit beau blocage. et je sais pas ce que ça m,apporterait de plus. ça rammmènera pas pierre pis ça effacera pas ce que j'ai vécu. je sais qu'il va falloir que je lui pardonne ça un jour et que ce jour là, y a beaucoup de choses qui vont changer dans notre relation mais je suis pas rendu là.

je sais pas comment on fait pour pardonner d'avoir été exclu dans un des moments les plus difficile de sa vie. et elle a fait la même chose quand elle s,est séparé d'avec mon père (elle s'est séparé de personne d'autre, elle est célibataire depuis ce jour là). ça pourrais-tu expliquer ma peur maladive d'être abandonné? je pense que oui. parce que l'exclusion c'est l'abandon. mon oncle m'a déjà trouvé, bébé, entrain de pleurer pis de vomir toute seule dans les escaliers chez ma grand-mère quand mes parents étaient entrains de se séparer. un bébé ça pleure pas tout seul, c'est pas malade tout seul dans son coin, ça ne s'isole pas quand ça feel pas. ça va chercher des bras pour le réconforter, ça demande à se faire bercer, ça pleure fort pour qu'on l'entende et qu'on subvienne à ses besoins. batard! ça se cache pas! quand ils se sont séparé, je me suis fait gardé encore plus. c'est dans cette période là que je suis resté des fois des 6-7 jours en ligne chez ma grand-mère. je sais, je me souviens, que des fois elle venait me chercher et que je demandais pour rester chez mes grand-parents. je voulais pas partir avec elle. à noël cette année là, elle est allé à haïti et j'ai passé les fêtes avec mes grand-parents et le reste de la famille. mais pas de mère. j'avais pas 2 ans calvaire pis mes parents venaient de se séparer. en même temps, elle n'a pas fait des tonnes de voyages sans moi, je ne peux pas lui repproché d'être partie souvent. mais je suis obligé de dire que le moment de celui-là était fucking mal choisi. j'imagine qu'elle en avait besoin. en tant que femme je peux comprendre, je suis passé par là. mais en tant qu'enfant, non. et je ne sais pas si ça à un lien mais ma mère était maigre à faire peur cette année là.

bon, j'ai assez fait sortir de stock pour aujour'hui. c'était pas prévu et je sais pas si ça fait du bien mais faut croire que j'en avais beosin. ça fesait longtemps que je gardais ça pour moi et il fallait que ça sorte...pour s'en aller un peu dans le vide, mais au moins c'est sorti de moi. ça reste là mais...en tout cas. je comprend pas toujours pourquoi je fais ça.

mercredi 4 novembre 2009

bon alors je me reprend maintenant que mon travail est avancé et que je suis un peu calmé.

je ne pourrai pas aller tarvailler à disneyworld à moins de m'inscrire au BACC, ce qui changerait grandement mes projets scolaires qui sont presque terminés. ce serait un peu me tirer dans le pied que de faire ça et j'en suis consciente. mais je suis aussi trop consciente que je pourrais le faire et réaliser un de mes rêves. mais à quel prix? est-ce que je vais sacrifier l'obtention de mon certificat à l'automne pour continuer à étudier 4 ans juste pour aller travailler 2 mois à disney? ça n'aurait pas vraiment de sens. l'autre possibilité c'est de faire le programme culturel et d'y aller pour 1 an ce qui n'a pas de sens non plus en tant que mère.

j'explique les 2 programmes quand même pour ceux que ça peut intéresser et qui auraient, eux, la chance d'y aller.

il y a d'abord le college program. si vous êtes inscrit au BACC (les intitutions universitaires ne sont pas toutes admissibles, renseignez-vous) vous pouvez appliquer pour ce programme. vous partez fin mai et revenez fin juillet. vous logerez dans les appartements fournis par disney. ces appartements coûtent entre 800 et 1000$ par semaine et ont de 1 à 4 chambres pour 2 personnes. donc vous pouvez avoir jusqu'à 7 colocataires pour vous aider à payer le loyer. les salaires sont entre 7,21$ et 8,25$ de l'heure selon le travail que vous ferez. certains ont du pourboir, d'autres non. vous ferez en général 40 heures par semaine mais il est possible de faire jusqu'à 55 heures (quand ça dépasse 40 heures vous êtes payé temps et demi). pour les heures supplémentaires vous pouvez même les faire ailleur qu'à votre poste habituel. par exemple si vous tarvaillez dans un fast food vous pourriez aller faire un 3 heures à un manège pour aider. vous aurez accès gratuitement aux 4 parcs thématiques et des réductions de 20% sur toute la marchandise et les breuvages mais aussi jusqu'à 50% tout les produits disney (croisières, hôtels, activités etc). plusieurs commerçants de Orlando offrent aussi des rabais quand vous montrez votre carte employé. plus de 50 jobs différentes s'offrent à vous, du vendeur au concièrge en passant par les mascottes (oui oui, vous pourriez être mickey ou goofy!).

l'autre possibilité c'est de s'inscrire au cultural program qui lui dure 1 an. vous travaillerez à epcot dans le pavillion de votre pays. pour le reste les conditions sont les mêmes.

alors voilà. vous pouvez avoir plus d'info sur yummyjobs.com. et si vous y allez, vous serez vraiment chanceux et je serai vraiment jalouse. mais voilà, j'ai fait des choix de vie qui m'ont menés où je suis aujourd'hui et sans nécessairement les regretter, disons qu'ils me pèsent un peu en ce moment. pour être tout à fait honnête, je suis sortie de la réunion la queue entre les deux jambes et je suis allé pleurer aux toilettes. j'y ai tellement cru, je l'ai tellement voulu et je me maudit de ne pas avoir pensé à ça quand j'étais plus jeune et que je n'avais pas de responsabilités. la morale? profitez-en pendant que vous êtes jeune pour voyager et ne lâchez pas l'école à 18 ans!!!
je suis en criss après moi-même présentement pour les mauvais choix de vie que j'ai fait et qui me privent de mes rêves aujourd'hui. mais j'y reviendrai plus tard. là j'ai un travail qui m'attends et pour lequel j'aurai beaucoup de mal à me concentrer. et je vais aussi attendre de m'être calmé avant d'expliquer pourquoi je ne travaillerai jamais à disney.

jeudi 29 octobre 2009


j'ai pris ça dans la chapelle du Séminaire de Québec en allant voir une exposition pour un travail d'université. j'aime les couleurs!

mercredi j'ai une réunion à l'université pour avoir des infos à propos des jobs à disneyworld. oui je suis maniaque à ce point là. mais comme Anne m'a dit, ça se peut que ça brise un peu la magie de voir la face de ceux qui sont dans les mascottes et de voir l'envers du décors. mais je suis certaine que ma magie est trop forte pour que ça nuise à mon plaisir. il y a aussi une promotion ces temps-ci style achettez 4 nuit et recevez-en 3 gratuites. *lève la main* vous pouvez vous cotiser pour m'offrir ça pour noël et vous organiser avec mes parents aussi, ça reviendrait pas cher à la gang et je peux même participer! hahaha! non mais sans blague ce serait un maudit beau cadeau ^_^ et j'aimerais bien aller travailler là-bas. je n'ai pas les infos encore alors je ne sais pas c'est combien de temps, où, le salaire etc. je verrai et je vous en redonnerai des nouvelles.

j'ai beaucoup de travaux à faire pour l'école encore cette semaine. ça avance mais je bloque sur certaines choses. je pense que je vais peut-être aller à l'université demain matin pour essayer d'avancer ça le plus possible et me libérer la fin de semaine pour être avec mon fils étant donné que c'est halloween. d'ailleurs on a pas mal de choses de prévues. vendredi soir on va à l'aquarium avec ma mère, il y a des activitées de prévues pour l'occasion style jeux gonflables, bonbons etc. samedi on va sûrement aller faire un tour chez mon père et ensuite faire la tournée des maisons pour ramasser des nanannes. et dimanche soir c'est le party quilles-halloween de ma job. bref on est occupé pas mal. j'espère prendre quelques bonnes photos.

ça va très bien ces temps-ci même si on a fait bouger quelques squelettes dans ma tête avec mon intervenante dernièrement. je m'étonne moi-même de bien réagir comme ça. mais j'avoue que je n'y pense pas trop en dehors de son bureau. j'ai trop de trucs à faire pour me casser la tête avec ça. c'était pas le temps de me virer à l'envers pendant les examens et les travaux de 10 pages à faire. mais bon, je n'y échapperai pas, je le sais. et oui, ça me fait peur de brasser ça. quand la tête décide d'enfouir des affaires loin loin loin, y a sûrement une bonne raison. cette semaine elle a juste tournée une chaise vide devant moi et m'a dit d'imaginer que ma mère était assise là et de lui dire ce que j'avais à lui dire et j'ai complètement figé. même pas capable de regarder la chaise "en face"! c'est déprimant un peu.

et je sais pas trop pourquoi mais les jambes me piques tout le temps depuis cet été, tellement que je viens au sang. ça fait mal et je sais pas c'est quoi. j'ai oublié d'en parler à mon médecin le mois passé et je le vois pas avant mai...ça va être long.

vendredi 23 octobre 2009



il a neigé hier et peut importe ce que les gens pensent, moi je crois qu'elle est là pour rester. la maudite!
mon chum m'a dit ce matin que les arbres devaient avoir mal parce qu'il a neigé et que les feuilles ne sont pas toutes tombées donc c'est lourd. c,est cute. moi je suis plus terre-à-terre (pour une fois que c'est moi la réaliste des deux...) et j'ai dit que ça ferait de la cochonnerie au printemps parce que les gens n'ont pas eu le temps de rammaser les feuilles sur leur terrain.

ben bon, au final, je déteste la neige. même si c'est beau.

j'ai beaucoup de travaux à faire cette semaine pour l'université. ça ne devrait pas s'appeller une semaine de lecture mais plutôt une semaine de recherche/lecture/écriture/correction/rush/fatigue intense.

mercredi 7 octobre 2009

pas de photo aujourd'hui. je suis à l'école et je n'ai pas accès à mes images.

je rêve de disney chaque jour qui passe. je voudrais tellement y retourner. suffit de faire une recherche "disney" sur flickr pour que je m'évade. un jour...

j,ai un blog de photo uniquement ici

samedi 26 septembre 2009




je suis allé au SPA nordique hier après-midi. si j'avais été moins pressé ç'aurait été un vrai plaisir. sauf que j'avais un travail à finir en avant-midi, le SPA à 14h au mont saint-anne (pas la porte à côté) et un souper à 18h30 à l'ancienne-lorette. disons que j'était un peu prise par le temps et que je n'ai pas pus en profiter autant que j'aurais voulu. mais j'ai quand même apprécié. un bon massage ça ne fait jamais de mal. j'ai bien aimé l'expérience SPA aussi et je pense y emmener Harold un de ces quatre.

je suis passé devant saint-anne-de-beaupré aussi et j'ai vu que je n'aurai pas trop d'une journée complète pour ma visite. il y a plus de choses à voir que ce que je me souvenais.

je viens de prendre une pause d'une heure pour aller mettre mon linge dans la sécheuse....oui parce que j'ai lavé ma tuque de panda et y a un ponpon qui s'est défait. au complet je veux dire. alors c'est comme si j'avais lavé un yorkshire avec le blanc. il y avait des grands poils partout. j'ai dû enlever tout les mottons à la main et faire le reste avec la brosse qui colle. et j'ai même pas retrouver la base du ponpon. c'est dire à quel point il s'est défait! une vraie partie de plaisir! donc je me suis fait un bol de popcorn pour faire passer tout ça. lol

vendredi 18 septembre 2009



photo par pickerel

il pleut beaucoup ce matin alors j'ai stationné va voiture et je suis entré au pavillion des dentistes pour passer par les couloirs sous-terrains de l'université laval....je déteste ces couloirs. il y fait chaud, il règne une odeur de renfermé et aujourd'hui j'ai dû faire environ 300 mètres dans un couloir sans lumière. l'obscurité totale sauf pour la petite larme de lumière qui venait de l'autre bout du couloir. rendue là je pensais que je serais en paix. NON! le couloir d'ensuite, c'était celui que je déteste le plus. il m'opresse complètement. c'est le couloir en tôle ondulé. il est étroit, nos pas résonnent contre sa paroie et une force m'attire toujours vers le mur. à moins que ce ne soit parce qu'il n'est pas droit? il est petit et interminable. j'ai souvent l'impression que je n'avance pas dans ce couloir, qu'il ne finira jamais. mais quand on en sort, on arrive dans le couloir de la bibliothèque des sciences humaines qui est beaucoup plus haut, plus large et je respire un peu mieux. mais pas tant que ça. puis je bifurque vers la droite pour aller au de koninck et j'ai eu une vision bizarre pendant quelques secondes. devant, il y avait une femme en talons hauts qui marchait comme un travesti. pas très élégante. puis je suis enfin arrivé à destination.

les couloirs sont pratique quand il ne fait pas beau mais en fait c'est plus long de passer par là que par l'extérieur et je m'y sens tellement mal que je les évite généralement. sauf que la pluie était vraiment forte ce matin et il ventait beaucoup en plus. plus ou moins le choix.

mercredi 16 septembre 2009


le dimanche matin au lac édouard c'était très brumeu. en fait quelques minutes plus tôt on ne voyait même pas le bout du quai!

je suis déjà dans le jus à l'école (je pense que je l'ai déjà dit) mais les projets sont intéressants. je prépare mon travail long pour mon cours "expressions de mémoire" sur saint-anne-de-beaupré. j'ai aussi choisi de faire un compte-rendu de lecture sur le livre "les églises du québec, un patrimoine à réinventer" dans le cadre du même cours. ça va me permettre de me concentrer sur la spécialisation que je veux faire (les archives religieuses). j'ai aussi beaucoup de travail à faire pour le cours "initiation au travail scientifique". un cours qui ne m'intéresse absolument pas (avec un prof problématique, la même qu'à ma session précédante) mais qui me sera utile j'en suis certaine. de toute façon il est obligatoire alors je ne peux pas m'en sortir. je dois aussi démontré la présence des archives dans notre vie de tout les jours par la démonstration de 5 articles de journaux. ça c'est pour le cours "concepts et méthodes archivistiques". et pour le travail d' "acquisition, évaluation, sélection et conservation"...ben je le sais pas encore parce que le prof, bien qu'elle soit très intéressante et que j'adore sa façon d'enseigner, est plutôt lunatique et ne nous a pas encore dit ce qu'on devait faire. bref beaucoup de lectures, de recherche et de travail sur la planche.

je me suis commandé des trucs de lolita et je devrais les recevoir d'ici lundi. j'espère réussir à vendre suffisament de trucs pour pouvoir les payer mais jusqu'à maintenant ça va bien. il y a beaucoup de taponnage parce que personne ne veux payer pour le shipping donc j'ai dû demander à une amie de me rendre un service et j'aime plus ou moins ça parce que je vois que ça lui cause des problèmes mais je vais lui offrir un petit quelque chose pour la remercier.

je m'en vais à joliette avec mon fils en fin de semaine. on va chez ma chum de fille et on pense peut-être aller aux pommes avec les enfants. avant on fesait toujous un petit voyage de 3-4 jours ensemble pendant nos vacances mais là ça fait 2 ans que ça nous adonne pas. l'été prochain peut-être.

j'ai un poêle hotpoint beige à donner. ça urge alors venez le chercher siouplait. il est propre et fonctionne parfaitement.

mardi 8 septembre 2009


lac édouard

je me suis souvent dit que la meilleur façon d'échapper à tout ça, ce serait de partir loin de tout et de tout le monde et me défoncer dans le travail de ferme. ça revient comme ça de temps en temps quand ça va pas.

il dit de plus en plus souvent qu'il est écoeuré. mes jours sont comptés, comme avec les autres, encore une fois. comment il pourrait m'endurer quand je ne m'endure pas moi-même? aucune raison. alors je me prépare mentalement à un déménagement prochain. aucune idée de comment je vais m'en sortir cette fois là. ce serait peut-être finalement le temps de tout laisser tomber et de partir dans un bled perdu où personne ne me connaît et vice-versa. j'ai jamais eu le courage de le faire avant d'avoir mon fils et après, je me serais trouvé lâche de l'abandonner. mais étant donné que je l'ai déjà fait à moitié, trop, est-ce que ce ne serait pas plus simple de juste disparaître dans la nature? complètement. et de me faire oublier. ce ne serait sûrement pas très long avant qu'on m'oublie de toute façon.

j'ai un travail à remettre pour vendredi, il me reste demain pour le finir si je veux profiter de mon billet pour envole et macadam. j'ai comme la vague impression que je n'irai pas tel que prévu jeudi et que je devrai finir mon travail à la place. une déception de plus. pas grave, je suis habitué. y a que ça, des déceptions, dans ma vie.

vendredi 4 septembre 2009



petite visite à la cour a scrap samedi dernier. pas exactement le type de cour a scrap que je voulais mais quand même...


l'université à recomencé cette semaine. j'ai déjà plusieurs lectures à faire et un travail à remettre pour vendredi prochain. rien à voir ma session de l'hiver dernier!

on a complètement repeinturé la salle-de-bain aussi. je metterai une photo la prochaine fois. sinon, vous pouvez la voir sur mon facebook.

on part pour lac édouard demain matin. c'est au nord de la tuque et il y a un sanatorium abandonné depuis les années 90. ça fait un an ou deux que je veux aller là. j'ai vu quelques photos ( il y en a pas des tonnes de disponible sur le net présentement ) et je suis tombé en amour avec l'endroit. en plus, il y a des balançoires! bon, ça l'air bizarre dit comme ça mais c'est parce que j'ai un projet de photo qui me trotte en tête depuis un bon bout de temps qui inclus des balançoires abandonnées ou du moins dans un lieu décrépit. et je n'en trouve pas ici. celle-là ont l'air parfaite pour ce que je veux faire.

j'ai hâte mais j'ai aussi peur de ne pas pouvoir faire toutes les photos que je veux pour une quelconque raison ( mauvaise température, impossibilité d'entré, gêne, trop de monde etc...). je sais que 2 autres personnes seront là dimanche soir et ça me gosse un peu. autant j'aime rencontrer de nouvelles personnes qui se passionnent pour les même choses que moi, autant j'aime avoir la paix quand je fais de l'explo et de la photo. j'espère juste que c'est pas des morons. au moins je sais qu'ils vont être là donc à la limite je fais ce que j'ai à faire le samedi soir et le dimanche soir on fait autre chose. on verra ben.

pour le moment, il me reste des bagages à faire. j'ai pas mal tout mon stock de photo de prêt mais j'ai encore tout le stock de camping à préparer en plus de mon linge et de la bouffe. pas mal de job en perspective pour la journée. alors je vais m'y mettre tout de suite parce qu'en plus de tout ça, j'aimerais bien avancer mes lectures un peu avant de partir.

bonne fin de semaine!

vendredi 28 août 2009




Albertine à 70 ans: Pauvre Madeleine...J't'en ai fait voir de toutes les couleurs, hein...mais j'sais pas si tu savais à quel point j't'aimais.

Madeleine la regarde

Madeleine: Non. On n'a jamais su si tu nous aimais ou si tu nous haissais vraiment...Tu nous le disais tellement que tu nous haissais! À chacun son tour ou tout le monde ensemble...Des fois, y'a rien que ça qui venait de toi, on pouvait le sentir, on aurait presque pu le toucher!


Albertine à 40 ans: Si tu savais comme c'est dur de se sentir tu-seule dans une maison pleine de monde! Le monde m'écoute pas ici-dedans parce que j'arrête pas de crier pis j'crie parce que le monde m'écoute pas. J'dépompe pas du matin au soir! À onze heure du matin chus déjà épuisée! J'cours après Marcel pour le protéger pis j'cours après Thérèse pour l'empêcher de faire des bêtises plus graves que celle de la veille! Pis j'crie après moman plus fort qu'a' crie après moi! Chus tannée d'être enragée, Madeleine! Chus trop intelligente pour ne pas me rendre compte que vous me méprisez pis chus pas assez prime pour vous boucher!


Madeleine: Cris moins, Bartine! Essaye de t'exprimer sur un ton un peu plus doux...


Albertine à 40 ans: J'peux pas...mon coeur déborde d'affaires tellement laides, si tu savais...

Silence.


Albertine à 50 ans: Ça va passer


Albertine à 60 ans: Oui, mais ça va revenir...




j'ai pas vu ni lu des tonnes de pièces de théâtre (sauf Tremblay que j'ai lu au grand complet) mais cette pièce là m'a arraché le coeur chaque fois que je l'ai vu. elle le fait encore. moi, je la comprends albertine. je comprends sa rage, je la vie. pas complètement de la même façon, ni pour les mêmes raisons, mais je la comprends tellement. j'aurais voulu mettre l'extrait vidéo mais impossible de le trouver. si vous avez lu les chroniques du plateau mont-royal et que vous n'avez pas apprécié le personnage, toujours frustrée, toujours enragée, lisez "albertine en cinq temps". vous comprendrez bien des choses.

je vie dans ma bulle depuis des jours. et ma bulle est solide et très hermétique, croyez-moi! je sais que je suis plate pour mourrir ces jours-ci et plus je me trouve plate, plus je m'isole. le travail est tellement routinier que je m'évade dans mes histoires infernale toute la journée. ce matin, mon chum m'a passé un commentaire ( innofencif, bien sûr ) et je l'ai ruminé toute la journée. je me suis réellement répété ce que j'aurais dû lui répondre sans arrêt pendant pratiquement la totalité des 8 heures que j'ai passé au travail. je me suis répété les même 4-5 phrases dans ma tête jusqu'à ce que je réalise à quel point c'était débile. c'est un comportement d'obssessif-compulsif ça! mais même après l'avoir réalisé et m'être fait peur moi-même, ça a continué. des fois je me demande si je ne suis pas entrain de sombrer dans la folie pour vrai. les schzophrènes, ils s'en rendent-tu compte que les voix qu'ils entendent existent pas pour vrai? les paranoĩaques, ils le savent-tu que c'est dans leur tête? parce que je vous jure que moi, de me rendre compte de ce comportement là et de pas être capable de le contrôler, ça m'a fait freaker. et je me rends aussi compte que c'est pas la première fois que ça m'arrrive. en fait, c'est plutôt fréquent. et comme je n'en parle jamais vraiment, je me demande si c'est juste moi ou bien si c'est normal de faire ça?

mon blog est devenu une complainte permanante. mais c'est ma vie.

lundi 17 août 2009



j'ai une humeur très changeante et très suceptible ces temps-ci. je ne sais absolument pas pourquoi. même moi je me tombe sur les nerfs alors j'imagine que je suis dûr à suivre pour les autres.

je fais ce que je suis supposé, je m'exprime plus. sauf que je reste fâchée aussi longtemps. dire ce qu'il y a qui ne va pas, ça aide à régler le problème, mais ça n'enlève pas les frustrations et les douleurs. c'est donc ben compliqué être normal! je ne suis pas capable de les gêrer mes maudites émotions. elles sont tout le temps déplacées ou trop fortes ou je sais pas quoi mais elles ne sont jamais correct. je me sens toujours mise de côté, isolée, rejetée. je SAIS que ce n'est pas le cas ( ma tête et mon coeur, ça fait 2 hein! ) mais c'est quand même comme ça que je me sens. tout le temps, depuis trop longtemps. je sais pas d'où ça vient, je sais pas pourquoi.

des fois, je me sens comme dans "françois en série" avec toutes mes personnalités qui s'obstinent en arrière de moi, qui parlent à ma place, qui prennent toute la place et moi je ne sais plus qui je suis dans tout ça. les personnalités de marie-hélène me touchent beaucoup, elles me ressemblent. la folle-à-lier, le petite douce qui ne veut pas faire de mal et évite tout les problèmes, la manipulatrice, l'enfant, la dépressive...on dirait qu'elle n'a pas de côté positif cette fille là, un peu comme moi.

je voudrais parler de tout ça de vive voix avec quelqu'un mais je ne suis pas capable, ça sort pas. et je ne sais pas vraiment quoi dire de toute façon parce que tout s'emmêle dans ma tête. la folie, la vraie, ça doit être tellement plus relax. mais ça c'est l'enfer. j'ai tout pour être heureuse en ce moment, tout! mais y a toujours quelque chose pour venir me gosser. une niaiserie en général. une niaiserie qui touche de quoi de ben enfoui au fond de moi et que j'arrive pas à mettre le doigt dessus. pendant que j'écris ça j'ai les gros sanglots, ceux de quand on cherche son air pis qu'on à l'impression que tout va s'écrouler autour de nous. ceux qu'on comprend pas mais qu'on voudrait tellement, TELLEMENT comprendre! je sais pas ce que j'ai. JE LE SAIS PAS CRISS! y as-tu quelqu'un qui peut me dire pourquoi je suis comme ça? qu'est-ce qui m'est arrivé pour que je devienne comme ça?

"t'as pas besoin de médicament, tu t'en sors bien toute seule" allez chiez! je m'en sors pas bien toute seule et j'ai foutuement besoin de médication. j'en peux plus que tout s'emmêle dans ma tête, de pas me comprendre, de repousser tout ceux qui m'aiment sans savoir pourquoi, sans le vouloir. je provoque mon abandon, celui dont j'ai tellement peur. comme si je me disais "je vais partir avant que lui/elle/eux le fassent". comme si j'allais moins souffrir. mais c'est de la bullshit, je souffre pareil. mais je ne veux pas faire ça avec harold, je ne veux pas partir et je ne veux surtout pas qu'il parte. mais si je continue comme ça, ça va finir par arriver. il va se tanner, comme les autres. je ne suis pas vivable, j'ai des sautes d'humeurs impossible à comprendre, je suis jalouse maladive, insécure, dépressive. une vraie plaie!

je ne sais pas d'où ça vient toute cette jalousie, je ne pense pas que j'étais comme ça avant, avec mes 2-3 premiers chums. en tout cas il me semble. qu'est-ce qui s'est passé? et j'ai beau me répèter que j'ai pas de raisons, y a rien à faire. ça me ronge comme un cancer. et je vis mal avec ça parce que je sais que je n'ai pas de raison, parce que j'ai honte d'être jalouse, parce que je ne suis pas capable de le dire, parce que je ne comrend pas pourquoi je le suis ni pourquoi j'en ai honte, parce que la maudite jalousie me fait faire des choses que je ne veux pas faire et que je ne veux pas parler de ça non plus parce que ça cause toujours un tas de problèmes etc etc etc. un beau cercle infernal qui ne fini jamais. et qui fait mal.

j'en ai un peu ma claque d'être moi. y a pas quelqu'un qui voudrait prendre ma place? juste une journée? que je sache au moins ce que c'est que d'être bien avec sois-même pendant quelques heures.

vendredi 7 août 2009



je suis allé me perdre en voiture il y a quelques semaines. perdre est un bien grand mot parce qu'on ne se perd pas très loin en 4 heures au québec. beaucoup de cul-de-sac donc de repassage aux même endroit. ce qui fait que j'aurais pus aller beaucoup plus loin si j'avais pris la bonne direction dès le départ.

quelqu'un peut m'expliquer comment ça se fait que les gens de "radio touristique québec" sont en congé l'été et qu'ils passent les "meilleurs moments" de l'année à la place? bordel! c'est une radio touristique et ils ne travaillent pas en pleine saison du tourisme. c'est quoi cette station de mickey mouse là?

petit retour sur ma rencontre avec l'intervenante du CLSC. à première vue, elle n'est pas très acceuillante ni très sympathique. et elle porte des bas ordinaires avec des flip flop. et il y a pleins de posters de trips d'acide dans son bureau avec une petite fontaine et un bruleur d'huiles essentielles.......trop pas mon genre. SAUF QUE, elle fait bouger des choses. elle a une façon de me parler, de me poser des questions, une approche qui me semble plus efficace que les autres que j'ai consulté depuis 5-6 ans. je sens que je vais avancer beaucoup plus vite avec elle. j'ai aussi ma part de mérite parce que je suis plus motivée que je ne l'ai jamais été à faire bouger les choses mais je dois dire que ne pas juste rester assise là à m'écouter parler, m'obliger à lui répondre et ne pas lâcher le morceau tant que je ne suis pas allé au fond des choses y est pour beaucoup. pendant les 3 prochaines semaines, je dois m'ouvrir plus et ne plus avoir honte de mes émotions.

alors voilà. un de mes gros problèmes, qui est assez ressent mais très frustrant, c'est que je ne m'exprime plus. avant, quand quelque chose me fesait chier, je le criait haut et fort. j'acusais beaucoup, je mettais tout sur le dos de l'autre et je fesais tout en mon possible pour le faire sentir cheap. j'ai mal? tu vas avoir mal aussi et encore plus que moi si c'est possible. avec mon chum, à qui je tiens énormément et à qui je ne veux pas faire subir ça pour tout l'or du monde, j'ai pris l'habitude de me taire à la place. j'ai retrouvé un mécanisme de mon enfance que j'utilisais beaucoup dans le temps, aux dires de ma mère: le boudage. bon. quand je m'enfonce là-dedans, j'ai beaucoup de mal à en sortir. parce que plus je garde mes frustrations en dedans, pire c,est et ça n'en fini plus et à la fin tout le monde me déteste et blah blah blah. comme l'intervenante dit, je dramatise. je dois dire honnêtement que dans ma tête, je suis la pire des dramas queen. quand on me laisse déraper toute seule, je me monte des scénarios digne d'hollywood. le problème, c'est qu'on ne peut pas vraiment m'arrêter. parce que je ne suis pas capable de dire comment je me sens ni pourquoi je me sens comme ça. ce que je vais devoir travailler.

pour épargner à mon chum les méchancetées dont je suis capable quand j'ai mal, je me ferme comme une huître. le plus simple serait de tout simplement dire comment je me sens mais pour une raison que j'ignore, je suis gênée, j'ai honte. alors je me taie. je suis régulièrement honteuse de me sémotions. comme si je n'avais pas le droit de me sentir de tel ou tel façon dans tel ou tel situation. comme si j'avais peur qu'on me juge de me sentir comme ça, qu'on se moque de moi. en fait, ce n'est pas comme si, c,est exactement ça. j'ai souvent l'impression que ce que je resent n'est pas approprié. on m'a souvent dit que j'over reactais. c'est peut-être pour ça aussi. et aussi le fait de savoir que je suis malade etque ça fait justement parti de mes "symptômes" la difficulté de gêrer ses émotions, fait peut-être que je les retiens encore plus de peur qu'elles n'en soient pas des "bonnes". je réfléchis à tout ça en même temps que je l'écris, ça se peut que ça ne fasse pas beaucoup de sens. mais voilà. et quand je garde ça en dedans, ça s'accumule. et je ne veux pas ça pète un moment donné alors je dois apprendre à parler et dire les choses. plus facile à dire qu'à faire, en tout cas pour moi. quand je l'écris ça va mieux mais on ne discute pas. c'est un peu une manière de m'en débarasser sans problème.

mais je me rend compte que ce ne sont pas toutes les émotions qui me cause problème. je parle surtout de cas de jalousie, de moments où je me sens mise de côté ( et ça m'arrive souvent ) ou de moments de déceptions. comme si être déçue ce n'était pas correct. comme si je n'en avais pas le droit. pour les moments où je me sens mise de côté, c'est récurant chez moi. ça va avec ma phobie de l'abandon. l'exclusion est une plaie pour moi et j'ai régulièrement l'impression d'en être la cible alors que ce n'est généralement pas le cas. il suffit de très peu de chose pour je me sente mise à part. pour la jalousie, je ne sais pas d'où ça vient. il me semble que je ne l'étais pas à ce point là avant. ma relation plus que houleuse avec Paul n'a sûrement pas aidé ( et je ne le blâme pas, j'avais juste à pas m'accrocher à lui. quoique je dois admettre qu'il n'a pas toujours été correct avec moi. ). si j'étais jalouse avant, ça été le clou dans le cerceuil! sauf que ma jalousie maintenant est trop intense et pratiquement jamais justifié. je me vire à l'envers pour le moindre petit commentaire et ça me surprend moi-même. sauf que ça fait très mal. et ça, je ne peux pas le nier. il faut que je travaille ça aussi mais c'est possible que ce soit long. je pense que ce sera le plus dûr à surmonter.

je quitte

jeudi 30 juillet 2009



tout va bien. y en a qui s'inquiètent et qui ne devraient pas parce qu'ils sont en VACANCES!!!!
mais plus moi. j'ai recommencé à travailer lundi. bleh!

lundi 20 juillet 2009



la mariage de mon amie à été mon seul plaisir ( ou presque ) en fin de semaine. ça plutôt été une fin de semaine pleine de frustrations, de tristesse et de déceptions. à cause de moi la plupart du temps, et c'est ce qui me fâche le plus.

un rien me déçoit, me fait de la peine ou me fâche. je suis à fleur de peau et surtout, je ne suis pas capable de le dire quand ça ne va pas alors ça dégénère. pour ceux qui sont plus près de moi, je vais peut-être parler de choses que vous ne voulez pas savoir aujourd'hui, alors ne lisez pas plus loin si vous coyez que ça peut vous déranger. mais moi j'ai besoin d'en parler.


mon problème de communication semblait vouloir s'arranger tranquillement mais je me rends compte que ce n'est pas vraiment le cas. c'est plus que mon chum réussit à trouver ce que j'ai avant que j'aie besoin de le dire la plupart du temps. parce que quand j'ai quelque chose, je ne suis toujours pas capable d'en parler. et en fin de semaine c'est allé un peu trop loin.

j'ai eu, à une certaine période de ma vie, pas mal longue en fait, ce que je qualifierait de sexualité débridée. je sais aujourd'hui que c'était en grande partie à cause de ma personnalité borderline. et si je ne renie pas mon passé, je n'en suis pas particulièrement fière non plus. sauf que je ne me reconnais plus. et je n'aime pas plus ce que je suis maintenant que ce que j'étais avant. j'ai perdue ma spontanéité, ma folie et je suis envahie par la gêne et la peur.

je me suis souvent servie de mon corps pour séduire et obtenir ce que je voulais avec des gars qui se foutaient pas mal de moi et maintenant que j'ai quelqu'un de bien dans ma vie, je bloque. je ne lui fais pratquement jamais d'avances, je ne le séduit pas. en tout cas je ne le fais plus. je n'étais pas comme ça au début de notre relation. je n'étais pas non plus aussi agicheuse qu'avant mais depuis 2-3 mois, je me trouve vraiment plate. ça m'arrive souvent d'avoir le goût mais de ne rien faire pour que ça arrive et d'être déçue parce qu'il se passe rien. j'attends que ça vienne de lui. et lui fait pareil donc ça n'arrive pas assez souvent à mon goût et ça me frustre pis là je boude pis ça arrive encore moins.

ça fait trois jours que j'ai le goût mais que j'ai une hummeur de marde avec lui donc c'est le calme plat, trop. ce soir je m'étais fait belle pour lui plaire et quand ça été le temps j,ai dit une connerie que j'avais pas d'affaire à dire et ça m'a fâché moi plus que lui. donc toujours rien. et tout ça m'a bouleversé parce que je ne comprends pas ce qui m'arrive et que je n'aime pas ça.

c'est arrivé quelques fois qu'il m'a fait comprendre que c'était pas le temps et maintenant on dirait que j'ai toujours peur de déranger. faque j'attends. pis ça vient pas souvent parce qu'il attend lui aussi. mon bloquage pourrait éventuellement avoir raison de nous et je ne veux pas ça.

oui j'ai un meilleur contrôle sur ma maladie mais si c,est plate comme ça être normal, je suis pas certaine que ça me tente. j'étais pas stuck up comme ça, c'est pas moi ça. je suis devenue plate. j'ai toujours peur de ce qu'il pourrait penser de moi, je suis gêné de ce qu'il pourrait penser et je ne devrais pas. je ne suis pas bien comme ça et je ne sais pas quoi faire pour arranger ça. parce que je ne suis pas capable d'en parler, je bloque là-dessus aussi.

je ne renie pas mon passé, mais j'ai honte de plusieurs choses. et je ne devrais pas. je suis tanné d'avoir honte de moi, de mes sentiments, de mes émotions, d'avoir peur de l'opinion des autres, des commentaires. je suis tanné d'avoir besoin d'aide et de ne pas être capable de la demander et encore moins de l'accepter quand elle se présente. je suis tanné de m'ouvrir à des inconnus mais pas à ceux qui m'aiment. je suis tanné de me cacher pour pleurer plutôt que de le faire avec lui alors qu'il veut m'aider, m'écouter mais que moi je ne suis pas capable de lui parler. la personne avec qui j'ai parlé le plus dans ma vie, c,est celui qui m'a repoussé le plus et qui s'en sacrait le plus. je suis à l'envers de tout le monde.

et pour ajouter à tout ça, alors que je commençais à peut-être voir le bout du tunel, la fille qui s'occupait de moi au CLSC à changé de travail et je vais devoir tout recommencer, encore une fois, avec une nouvelle. je suis tanné de re-raconter mon histoire à chaque fois, tanné que les fragiles liens de confiance que je tisse se scrap tout le temps. chaque fois, je dois recommencer le processus au complet et c'est comme si je repartait à zéro. elle à beau avoir mon dossier, pour moi il y a quelque chose de brisé. et comme mon problème c'est les relations humaines en général, ce n'est absolumet pas le genre de chose qui doit m'arriver. la motivation était là et depuis qu'elle m'a appellé pour me le dire, plus rien. je ne vois pas le bout de tout ça. et elle m'avait dit qu'elle pensait que je n'avais pas besoin de médication. c'est sûr, j'allais bien dans ce temps là! et la spécialité des borderlines, c'est le mensonge. "ah oui oui, ça va super bien!"...bullshit. ça va bien pendant 2 mois pis après l'enfer recommence. pis il suffit juste d'une petite chicane pour que le tourbillon m'emporte. je suis fragile, je le sais. mais personne d'autre n'a l'air de s'en rendre compte.

là je dois finir parce que la pile du portable est faible et je ne veux pas tout perdre ça. et je ne continuerai probablement pas, parce que mes humeurs sont changeante et que je suis ce que je suis: une lâcheuse.

mercredi 8 juillet 2009



on est encore allé à l'aquarium dimanche dernier pour profiter du peu de beau temps qu'on a. oui parce qu'il pleut tout le temps depuis que je suis en vacances.

on a terminé le déménagement samedi. tout est fait. les boîtes sont défaites et/ou rangées, la chambre de mon fils est faite au complet ( peinture + instalation ) et ça fait drôlement du bien de retrouver un peu d'espace dans notre chambre et de voir respirer mes vêtements dans leurs tiroirs et dans un grand garde-robe. ça fait aussi beaucoup de bien à mon grand bonhomme d'avoir sa chambre et un vrai lit où dormir. on a fait du beau travail!

j'ai des trucs à vendre ici

en défesant les boîtes, j'ai trouvé quelques trésors ( et beaucoup de cochonneries aussi...). j'avais certaines boîtes de déjà fait/jamais défaites et je ne savais pas trop ce qu'elles contenaient. ouf! j'ai retrouvé le "dictionnaire de la gang"......explication: au secondaire ( d'après l'écriture, je dirais secondaire 3 ou 4 ), moi et mes copines, on avait fait un dictionnaire des expressions qu'on utilisait ( et d'autres qu'on avait pris dans le safarir je pense ) avec une belle description. ça donne des affaires du genre:

acafé (on va):n.f. cafétéria
on l'utilisait beaucoup celui-là

déperdu: adj. trouver ce qu'on a perdu

ago: v. signifie qu'on fait quelque chose ex: ago on rit
trèèèèès utilisé ça aussi

dissimulariser: v. dissimuler un mot derrière des ratures
au lieu d'effacer un mot, on le dissimularise...on le fesait pas mal dans nos lettres pliées en 25

bentsé: exp. bentsé là!, j'ai pas d'exemple.
c'est ça....

moétou: exp. moi aussi
.....

vous voyez un peu le genre. je suis contente d'avoir retrouvé ça parce que j'ai justement un souper avec mes 4 copines du secondaire le 25 juillet et je vais l'apporter avec des photos de nous dans le temps. ça va être drôle. je n'ai pas retrouvé mon album de finissant par exemple et j'aurais voulu que les filles me le re-signe. il est loin dans les boîtes du locker alors je vais oublier ça. dommage.

j'ai aussi retrouvé toutes mes cartes de new kids on the block et mon wizz ( sifflet ).

demain soir je pars pour Kamouraska avec mon fils, mon père et sa blonde ( ça fait 30 ans qu,ils sont ensemble mais si je dis ma belle-mère, ça devient mêlant avec la mère de mon chum...en tout cas ). j'espère qu'on va enfin avoir un peu de soleil. je commence à être écoeuré d'être enfermé dans la maison.

mercredi 17 juin 2009



le meeting de lolitas de samedi à été trèa bien. la visite de la maison goerges-étienne-cartier était très intéressante et tout le monde était vraiment beau. j'aurais aimé parler à plus de gens mais ma timidité et je ne sais trop quoi m'ont empêché de le faire. il y a certaines personnes que je voudrais mieux connaître mais l'occasion ne se présente jamais et samedi ces personnes étaient trop occupées et accaparées par d'autres alors j'ai abandonné. dommage. je suis très fière de mon ensemble entièrement offbrand et je n'ai eu que de bons commentaires. ce fut long de rassembler tout les morceaux mais je suis satisfaite du résultat.

je déménage des boîtes un peu chaque jour et je range le plus possible à mesure mais ce n'est pas évident parce que la chambre n'est pas libre et les bibliothèques du salon sont déjà pleine.

il ne me reste que 7 jours de travail avant les vacances. j'ai hâte! j'ai tellement de choses à faire.

je suis entrain d'organiser un party de retrouvaille avec mes copines du secondaire ( ben oui, c'est moi qui organise...dans quoi je me suis embarquée! )et j'espère qeu ça marchera parce que j'ai vraiment le goût qu'on se revoient toutes avec les enfants. il n'y a que véro que je vois encore.

jeudi 11 juin 2009

mardi 9 juin 2009



mon fils sur le pied du buzz lightyear géant à notre hôtel ( le movie all-star ).

les hôtels de catégorie économique sont très bien à disney world. je ne vois pas vraiment l'intérêt de payer plus cher pour un endroit où on passe très peu de temps pendant le voyage. nous n'étions pas trop près de la piscine ni du complexe principale ( la conciergerie ) donc nous n'avions pas le bruit incessant du va-et-vient et c'était parfait comme ça. les piscine aussi n'étaient pas trop près donc une source de bruit de moins. les chambres sont très bien pour ce prix et c'est propre. on doit payer un suplément pour avoir un frigo ou un micro-ondes si on en a besoin. le "food-court" possédait 4 restaurants ( je ne sais pas si c'est pareil pour les autres hôtels de la même catégorie ) mais c'est du pareil au même pour les 4, en général. on ne mange pas très bien à disney et c'est pratiquement mon seul commentaire négatif. mais il y a moyen de manger mieux en réservant tôt ( tôt signifie plusieurs mois d'avance ) et en payant un peu plus cher. au food-court, il n'y a que du fast-food, sachez-le. il est possible de faire livrer vos achats de la journée au magasin de votre hôtel et de les récupérer à la fin de la journée. un service très pratique ( qu'on a pas utilisé suffisament ). à moins de prévoir passer beaucoup de temps à la chambre ou a la piscine, ces hôtels sont parfaits. à titre de référence, nous étions dans celui des mighty ducks au rez-de-chaussé, du côté opposé à la piscine.

le déménagement avance. j'ai hâte que ce soit terminé. il ne reste que très peu de meubles à déménager et les boîtes. mais le pire est fait ( frigo, laveuse/sécheuse etc ). j'ai dailleur un poêle à vendre....

une liste de noms parce que ça fait longtemps et que j'ai trop de petits papiers accumulés:
- hypolite
- zéphirin
- eléoza
- deurkise
- appoline
- josaphat
- johans-karl
- aurélius
- fidèle
- mabel
- cléophas
- véry
- daisey
- victorin
- aldenis
- rose-de-lima latour
- darie
- albérie
- gisane
- oméril
- winnie poon
- gilda
- hénédine
- valmore
- oram
- eraclius
- zaé
- harmel
- laurenda
- lovida
- josquin
- georgius
- matial
- a;bane
- guyanne
- alvénia
- rosalia
- léthia
- onézime
- angénard
- adéla
- gémy
- valia
- aldéric
- eusèbe
- tharcile (f)
- gratien
- malaïka
- ernestine
- royal
- madona boulet
- arthémise
- omérine
- donate
- jeanne-paule
- maude-félixe
- laurina
- hermas
- fédora
- riosa
- vitaline
- agénor
- etna
- albany
- asik
- almoza
- absalon
- zabinel
- yanicha
- ilona
- milo
- marissa
- zaïn
- emirienne
- claramay
- yolaine
- hento
- amissa
- aly
- renelle
- malorie
- manou
- janelle
- romulus
- manolia
- loggy
- kéven
- adéliska
- kyel
- ronalda
- marcienne
- placide
- alvine
- sabin
- apollon
- astrid
- jamil jalbert
- elzéar
- vilicia
- rhéault
- hermel
- azélius
- styve
- georgine
- thommy tobin

les vacances s'en viennent et ça va faire du bien. j'ai beaucoup de projets et j'espère qu'il fera beau sinon je serai vraiment déçu. j'ai hâte de monter au lac-édouard et d'aller à kamouraska. ça va faire du bien de se reposer, de prendre l'air et de passer du temps avec mon fils. il y a quelques spectacles que j'aimerais voir au festival d'été aussi ( indochine, entre autre ). j'ai aussi un mariage. bref je vais être pas mal occupé encore une fois et je ne verrai pas le temps passer. ce qui fait que je vais trouver mes vacances trop courtes. j'aurais bien aimer aller à la plage mais ce sera pour l'an prochain, peut-être.

lundi 1 juin 2009

mon beau-père est un mage-marde qui mériterait juste un bon coup de pelle dans le derrière de la tête. un gros.

j'en ai assez de voir mon chum pis son frère serrer les dents chque fois qu'ils parlent de lui, de les voir souffrir à cause de lui, et par le fait même, de nous voir moi et ma belle-soeur en souffrir aussi ( je n,en ai pas parlé avec elle mais on les aime nos chum et je suis certaine que ça l'affecte autant que moi ). et je n'accepte pas que mon fils subisse les conséquences de ça lui aussi. donc j'ai commencer à regarder pour un vélo dans les pacs. on devait aller en chercher un chez le beau-père mais avec toutes ses niaiseries, ça ira sûrement pas avant l'hiver avant qu'on puisse y aller faque fuck off.

fait chiez!

mardi 19 mai 2009


ma maman m'a rapporté tout ça de Paris autant comme cadeau de fête que souvenirs. j'ai donc eu une pair de bas BTSSB, une épinglette AATP, une petite sacoche et 2 cartes postales BTSSB. il y a aussi une petite chimère mais on ne la voit pas très bien sur la photo. on mélange souvent les chimères avec les gargouilles mais ce n'est pas la même chose.

on a mangé du homard pour ma fête, mmmmmm!

je suis allé faire les essayage chez Isabelle pour le pic-nique victorien et mon ensemble est très beau et il y a peu d'ajustements à faire. je dois essayer quelques coiffures pour voir ce que je ferai et aussi des maquillages. et trouver ce que je metterai dans mes pieds. tout ça doit être dans des boîtes en ce moment. ça m'arrive tout le temps de devoir défaire des boîtes avant de déménager.

je donne un grand coup cette semaine pour les boîtes. je me fait beaucoup pousser dans le dos par mon père qui veut faire repeindre l'appartement, ce qui me va, d'ici 2 semaines, ce qui me plait moins. autrement dit, je me fis un peu mettre à la porte mais je dois quand même payer le loyer habituel alors que mes choses seront dans un garage plutôt que dans un appartement. très ordinaire.

ah! et on a trouvé l'explication pour l"ex" dindon haché. c,est tout simplement le diminutif de "exceldor", le distributeur.

vendredi 15 mai 2009





mes nouveaux dreads sont magiqueeeeee! je les adore. je n'était pas certaine de mon choix de couleur quand je les ai reçu mais une fois installés, ils ont l'air tellement vrai sur ma tête que je ne peux pas faire autrement.

j'ai reçu mes 3 paquets aujourd'hui soit: ma robe metamorphose temps de fille, une crinoline et un petit boléro blanc. le tout fait très bien et je suis très contente.

je vais souper chez ma mère dimanche pour ma fête ( même si c'est juste la semaine prochaine ) et on va manger du homard. miam! on va aussi avoir nos cadeau de paris et voir ses photos de voyage.

j'ai finalement eu ma note pour mon deuxième cours. pas à mon goût mais j'ai quand même passé.

mercredi 13 mai 2009

je suis triste aujourd'hui et c'est ma faute.
je veux vraiment me soigner. je n'en peut plus de vivre comme ça et d'avoir honte de mes comportements et de mes sentiments. je ne veux plus être incapable de regarder mon chum dans les yeux parce que j'ai honte de moi.
et je ne veux plus avoir mal comme ça par ma faute.

mardi 12 mai 2009


si quelqu'un peut m'expliquer pourquoi le "ex", ce serait apprécié...

ça va moyen aujourd'hui, je n'ai donc pas grand chose à dire.

dimanche 3 mai 2009


cruella d'enfer au défilé de jour ( a dream come true ) du magic kingdom. tous les personnificateurs qui ne portent pas de "masques" sont incroyablement bons, c'est pour ça qu'ils sont choisis en fait.

mon chum revient demain soir. c'est long 5 jours sans lui.

ma belle-maman va réussir à faire quelque chose de très beau avec ma robe laide. juste d'avoir enlevé les manches et pris quelque pinces aujourd'hui ça a fait beaucoup de bien. j'ai très hâte d'avoir l'ensemble complet.

on est allé voir le film Terre hier avec mon fils, mon père et sa blonde. j'ai vu mieux mais j'ai aussi vu pire. c'est un peu long pour les jeunes enfants. mais les singes dans l'eau sont priceless! et les oiseaux bizarre de la savanne aussi. Iso, tu les aimerais beaucoup, j'en suis certaine.

de retour au travail régulier demain ( 5 jours/semaine ). j'aimais bien mes fins de semaines de 3 jours même si c'était pour étudier.

je commence à voir quelqu'un au CLSC hebdomadairement ( ça se dis-tu ça? ) pour au moins 10 semaines et je serai probablement intégré au groupe de thérapie bientôt, si il reste de la place à beauport parce que celle de neufchâtel est déjà commencé et ça n'irait qu'à l'an prochain. en même temps, maintenant que le processus est enclanché, ça me dérangerait moins d'attendre parce que je sais qu'il se passe quelque chose. mais je suis quand même stressé de tout ça parce que présentement je vais bien. mais je sais que ça ne veut rien dire.

ma mère est partie à paris pour 10 jours. je lui ai demandé, si elle le peut, de me rapporter quelque chose de chez Baby The Stars Shine Bright mais je sais bien que tout coûte les yeux de la tête dans cette boutique alors je n'espère pas trop. mais OMG j'aurais quelque chose de brand! c'est une farce, j'en ai rien à foutre de la marque. c'est plutôt que ce sont de si belles choses....on ne sait jamais! j'aimerais bien aller à paris un jour. mais ce n'est pas le premier endroit que je visiterais si j'avais les moyens. je veux voir bien d'autres choses avant l'europe.